POUR INFORMATION.
Le Secrétariat du CNEM
Division d’éthique des sciences et des technologies,
Section de bioéthique
Secteur des sciences sociales et humaines
UNESCO
Vient de paraître « Rapport du Comité international de
bioéthique de l’UNESCO sur le clonage humain et la gouvernance internationale »
Dans le cadre de son programme de travail pour 2008-2009,
le Comité international de bioéthique de l’UNESCO (CIB) a ratite de la question
du clonage humain et de la gouvernance internationale dans le but de déterminer
s’il existe une évolution scientifique, sociale ou politique qui justifierait
une nouvelle initiative internationale dans ce domaine.
Après deux ans de travail intensif, en dépit de la
situation exceptionnelle causée par l’épidémie de grippe A (H1N1) au Mexique et
le report conséquent de sa seizième session (ordinaire), le CIB a néanmoins
considéré opportun de remettre ses conclusions au Directeur général et, par
conséquent, il a mis au point son Rapport sur le clonage humain et la
gouvernance internationale et l’a transmis au Directeur général le 9 juin 2009.
Le Rapport du CIB sur le clonage humain et la
gouvernance internationale (Réf. SHS/EST/CIB-16/09/CONF.503/2 Rev.) est disponible en anglais et en français. Des
exemplaires supplémentaires sont disponibles sous demande auprès de
Nous espérons que ce rapport favorisera la diffusion, les
discussions et les débats sur les questions relatifs au clonage et qu’il
constituera une ressource utile pour les États membres, les organisations et
les individus qui se penchent sur la question du clonage humain.
Dans ce rapport, le CIB « est d’avis que, bien qu’il soit
sans doute prématuré pour la communauté internationale de s’engager dès à
présent dans l’élaboration d’un instrument normatif contraignant visant à
harmoniser à la fois les pratiques et les principes dans ce domaine, les
questions entourant la gouvernance internationale en matière de clonage humain
ne peuvent être ignorées et il est urgent d’engager à ce sujet un dialogue à
l’échelle internationale. L’UNESCO, forte de son mandat éthique qui n’a
toujours pas d’équivalent dans le système des Nations Unies et de ses
réalisations normatives dans le domaine de la bioéthique, est particulièrement
bien placée pour poursuivre cette réflexion (…) ».
Si ce rapport ne se veut
directif, il représente une véritable ressource pour les États membres, les
organisations et les individus qui se penchent sur la question du clonage
humaine et sa gouvernance.
Français :
Ceci est une annonce de l’Observatoire
mondial d’éthique de l’UNESCO (GEObs). GEObs est un système de bases de données de portée mondiale
sur la bioéthique et les autres domaines de l’éthique appliquée des sciences et
des technologies tels que l’éthique de l’environnement, l’éthique des sciences
et l’éthique des technologies. Le système comprend actuellement six bases de
données sur les experts en éthique, les institutions d’éthique, les programmes
d’enseignement de l’éthique, la législation et les principes directeurs en
matière d’éthique, les codes de conduites, et les ressources en éthique. Pour
plus d’informations, veuillez visiter le site web de l'Observatoire: www.unesco.org/shs/fr/ethics/geobs